Sur les chemins de vie où je
traîne mes pas,
Sur l’horizon pleuré dont je sens, n’importe
où,
Les plus belles beautés qui ne se disent pas !
Mes
Enfants, mes Amours, le monde soit louable…
A ces meurtres
prescrits, à ses adversités,
Je sais que vous irez d’un geste
respectable
Étourdir Ceux qui tuent, pour Nous, la Liberté !
Ô
comme je sais bien la beauté de vos gestes,
L’immense de vos
cœurs à mon cœur insoumis ;
Le secret entre Nous qui ne laisse
de reste
Écrivant : « J’aime l’homme et le veux pour Ami !
»
Vous avez édifié la statue des amours,
La révolte et
la main qui se tend vers l’oubli…
L’oubli des Êtres pieux
qu’on délaisse toujours,
L’oubli de ce qui meurt aux vies de
ce qui plie !
Mes Enfants, mes Amours vous êtes là ce
soir
Et je revis de Vous et je suis en beauté
Lorsque Vous
m’adressez des musiques d’espoir,
Des rêves infinis où j’eus
ma Liberté !
Ô comme va la vie, va le pas de tout Être
Et
la mésaventure et son propre insidieux ;
Mes Enfants, mes Amours
à toujours Vous connaître
Il me semble aussi doux d’être
tourné vers Dieu !
Commentaires
Extrêmement touchant ! Merci de ce riche partage. Bonne fin de journée.
musicalementd
Bonsoir Alain , un très joli poème en l'honneur de tes Enfants
Je te souhaite un excellent week-end , toutes mes Amitiés