SOLITUDE
Acrostiche en
Alexandrins
S uffisement meurtri par la vie du silence
O
ù l'âme et puis le corps s'éteignent à genoux
L orsque l'on a
vécu sous la pluie qui s'élance
I ci-bas, parsemée de vide en
son chemin,
T oute chose se tait et s'éloignent les mains
U ne
à une connue d'avoir pensé « chez Nous ! »
D
ans un songe d'été, par un hiver sans lieu
E ntrouvrant la
Fenêtre où l'on ferme les yeux !
Alain Girard
Le
5 04 2016
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