Il n'y a plus rien
Poésie, Musique, Peinture, Art
Titre du blog :
Il n'y a plus rien
Auteur: alain77650
Description:
Poésie, Musique, Peinture, Art
Créé le: 19-02-2016
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Créé ton blogLe bleu et le pourpré
Poème écrit, en duo, plume croisée, avec mon Ami Alain Girard
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Le bleu et le pourpré
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On ne touche pas!
Lyne-Alain Girard
Ecrit sur le coin d'un bar:
Un soir dans la vie:
En Mon Pays d'Auvergne.
-
Avec le temps
Monsieur Léo Ferré
Commentaires
1. sambapati le 04-04-2016 à 13:09:26 (site)
Certainement une de mes chansons favorites de Ferré... Merci du partage et bonne fin de journée.
musicalementd
Et sur la route bleue
Et
sur la route bleue
Je vais mordre la vie à pleine dents fermées,
Je ne veux rien entendre où l'on m'aurait aimé
Comme l'on oublie tout, comme chacun s'éclipse
A l'orage du Temps, par quelque apocalypse !
Et sur la route bleue des « je viens » « je te donne »
Il n'y a désormais plus un bruit, plus personne !
J'imaginais l'amour, même ses pauvretés,
Lorsque pour trois fois rien j'ai osé enfanter
Des Enfants que j'adore en mes petits poèmes
Les Enfants que j'ai fait, par amour, et que j'aime !
Mais sur la route bleue des « je viens » « je te donne »
Il n'y a désormais plus un bruit, plus personne !
Je veux bien, je veux bien que l'on ne m'ait compris
Que le temps change l'heure en des endroits mépris
Lorsque à son coup blessé l'on regarde s'éteindre
Un Papa, son histoire et qu'il ne sut pas feindre !
Sur cette route bleue des « je viens » « je te donne »
Il n'y a désormais plus un bruit, plus personne !
En ce chemin maudit que j'ai pris, pas à pas
Depuis ma pauvre errance où l'errance est un pas
Et lorsque je voudrais aimer bien d'avantage
Il est le saugrenu de ma vie de mon âge
Où cette route bleue des « je viens » « je te donne »
Il n'y a désormais plus un bruit, plus personne !
Alors, avec le temps*, je m’effondre et trépasse
En des rêves violés que jamais rien n'efface
A l'orage du temps, par quelque apocalypse
Et de l'amour, en moi, il n'est plus une éclipse
Sur cette route bleue des « je viens » « je te donne »
Il n'y a désormais plus un bruit, plus personne !
Alain Girard.
Le 2 04 2016
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Dépôt SACEM au nom de : SARAH et LUCIE GIRARD
* Léo Ferré
AVEC LE TEMPS!
Entre deux vers
Entre deux vers
Filomena Moretti
Filomena Moretti
Commentaires
1. sambapati le 03-04-2016 à 00:51:20 (site)
En plus de jouer de façon magistrale, elle est très jolie ce qui n'enlève rien à sa prestation... au contraire ... Bonne fin de semaine.
musicalementd
A Marie!
A
MARIE
Si tu savais, mon cœur, l'amour que j'ai pour Toi
Depuis tant de saisons parfumées de tes rêves
Lorsque l'on s'endormait tous les deux sous ton toit
Lorsque, fébrilement, nos corps se dessinaient
L'un à l'autre, la vie dont un Enfant renaît
Comme l'ivresse bleue parfumée de ta sève !
Si Tu savais
Si Tu savais
Si Tu savais
…
Là où je vais !!!
Alain Girard
Copyright. Tous Droits Réservés.
Il fait beau sur la vie.
Photo perso.
L'Arc en Ciel
Là où je suis né....
Là où Je m'endors!
Aain Girard
Commentaires
1. sambapati le 30-03-2016 à 13:23:08 (site)
C'est que tu as beaucoup de chances mon cher Alain...
Bonne fin de journée.
musicalementd
2. alain77650 le 01-04-2016 à 22:10:37 (site)
merci de ton commentaire...
oui j'ai la chance d'être né en ce lieu...
mais je n'y vis plus depuis longtemps...
j'aurai du écrire: Là où je m'endormirai, je l'espère!
Alain Girard
Des vers et puis des vers
Ou j'écris, ou je meurs !
Sur les bords incertains de ce monde-poubelle,
Après avoir cherché, en la vie, quelques fleurs,
Après avoir été et croyant et rebelle,
Un homme, parmi Vous, et qui se fait la belle
Ou j’écris, ou je meurs !
A trop y regarder, à trop Vous voir en face
En vos rues dépouillées, moi le piètre rimeur,
Et parmi vos déchets et, surtout, quoiqu’on fasse
Et pour l’Art ou l’Amour qui, bien sûr, vous dépassent
Ou j’écris, ou je meurs !
L’incognito convient à celui qui dérange
En ayant simplement voulu être semeur
De mots, ici et là, pour que la vie s’arrange
Et que l’on ne tue plus ni l’homme, ni les anges…
Ou j’écris, ou je meurs !
Il était un chemin de jeunesse étourdie
Aux premiers pas du jour dont j’aimais la rumeur
Mais vite Vous avez désorienté, dédit
Mes grandes illusions et, tout bas, je me dis :
« Ou j’écris, ou je meurs ! »
Sur les bords éconduits de Vos vies ancestrales
Puisqu’il naît, chaque jour, de nouvelles tumeurs
Que l’on entend partout, en chaque homme, le râle
Et que le monde encor glorifie vos morales…
Ou j’écris, ou je meurs !
Alain Girard
Le 18 Octobre 2006.
DONNER
Federico Garcia Lorca
POETE ESPAGNOLE
fusillé
par LES FRANQUISTES
Dans la maison du temps.
Dans la maison du temps.
Tableau de Brigitte Fossey
avec laquelle j'ai eu la chance
de partager Son Art.
La vie a voulu qu'Elle nous quitte...
Mais je ne sais l'oublier...
Brigitte Fossey ici:
http://brigueffe.blog4ever.com/
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